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30 juillet 2018

RD Congo : Joseph Kabila demande à ses proches de lui chercher un dauphin

RDC : Joseph Kabila demande à ses proches de lui chercher un « dauphin »

| Par Jeune Afrique avec AFP
Mis à jour le 30 juillet 2018 à 19h18

Le président congolais Joseph Kabila a demandé à ses proches de lui chercher un dauphin en lui suggérant quatre noms à l'approche de la date-butoir du 8 août.

« Il veut que chaque regroupement (politique) lui propose quatre noms dans les 48 heures, afin qu’il choisisse le candidat du Front commun pour le Congo (FCC) à la présidentielle », a déclaré à l’AFP un ministre refusant d’être cité en cette période ultra-sensible. Joseph Kabila, dont le deuxième mandat s’est achevé en décembre 2016 et qui ne peut pas briguer de troisième mandat, affirme qu’il respectera la Constitution. Mais jusqu’à présent, il n’a jamais évoqué la question de son successeur.


>>>  A LIRE – [Dossier] RDC : le bal des dauphins de Joseph Kabila


Onze critères à remplir

Le « dauphin » devra remplir une liste de onze critères énoncés par le chef de l’État, a précisé un autre ministre issu de l’opposition, toujours sous le couvert de l’anonymat.

Toutefois, Joseph Kabila « n’a pas dit expressément qu’il n’était pas lui-même concerné par ces critères » qui n’ont pas été détaillés, a précisé un chef de parti qui a pris part à la rencontre. Trois autres participants ont confirmé ces déclarations.

Nombreuses consultations

Les forces politiques doivent déposer au plus tard le 8 août leur dossier de candidature pour l’élection présidentielle prévue le 23 décembre.Commencées samedi, ces consultations se sont poursuivies lundi, selon au moins six responsables de la majorité et du gouvernement interrogés par l’AFP. Lundi, le président Kabila a notamment consulté le ministre des Médias Lambert Mende, selon une source de la présidence. Ces discussions se sont multipliées : la veille, le président Kabila avait déjà « consulté le PPRD (parti présidentiel) » dans sa ferme de Kingakati, située dans la banlieue de Kinshasa.

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28 juillet 2018

RD Congo : les pro-Kabila mettent en cause Bemba et son éligibilité

RD Congo : les pro-Kabila mettent en cause Bemba et son éligibilité

| Par AFP
Mis à jour le 28 juillet 2018 à 12h05

Les partisans du président congolais Joseph Kabila ont mis en cause vendredi l'éligibilité de l'ex-chef de guerre Jean-Pierre Bemba qui annonce son retour mardi en République démocratique du Congo pour déposer sa candidature à l'élection présidentielle.

Jean-Pierre Bemba « pourrait tomber sous le coup de l’article 10 de la loi électorale »: les personnes condamnées pour corruption sont « inéligibles », a déclaré le porte-parole de la Majorité présidentielle (MP) Alain Atundu devant la presse.

 

M. Atundu souhaite que Jean-Pierre Bemba s’engage « par une déclaration solennelle » à ne pas se présenter « s’il s’avérait qu’il se trouvait dans un cas d’inéligibilité prévue par la loi électorale ».

Condamné à 18 ans de prison pour crime contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI), M. Bemba, 55 ans, a été acquitté en juin et remis en liberté provisoire et conditionnelle.

Il a été condamné en mars 2017 dans une affaire annexe pour subornation de témoins. « Une corruption de témoins », selon M. Atundu.

Début juillet, un procureur de la CPI a requis cinq ans de prison dans cette affaire annexe. La CPI n’a pas fixé de date pour le verdict.

M. Bemba, actuellement en Belgique, doit signaler à la CPI tout changement d’adresse.

Sénateur en RDC, il a obtenu un passeport diplomatique des autorités congolaises.

Les élections prévues le 23 décembre 2018 doivent organiser le départ du président Kabila qui ne peut plus se représenter mais n’a donné aucune indication sur un possible « dauphin ». Le dépôt des candidatures à la présidentielle court jusqu’au 8 août.

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TU AS ETE LE FORMATEUR DE NOTRE VIE POLITIQUE,ADIEU L'ARTISTE ET LE GRAND COMBATTANT

Tu as été le formateur de notre vie politique,Adieu l'artiste et le grand combattant

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8 décembre 2016

La RDC, étroitement scrutée par les espions britanniques et américains

les appels et les emails du président congolais Joseph Kabila et de tout son entourage étaient soumis à une surveillance intensive.

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image: http://s2.lemde.fr/image/2016/12/08/768x0/5045619_7_439a_le-president-congolais-joseph-kabila-a_51029677ab43e7530c357107bb9cf307.jpg

Le président congolais Joseph Kabila (à gauche) avec son homologue rwandais Paul Kagamé, ici lors de la conclusion d’un accord entre leurs deux pays, à la frontière, en août 2016. Tous deux ont été écoutés par les services britanniques.

Goma, 23 mars 2009. Dans la capitale de la province du Nord-Kivu ébranlée par la guerre civile, le gouvernement congolais et la rébellion politico-militaire du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) signent un accord de paix. Les tractations ont été longues et suivies de près dans les capitales des pays des Grands Lacs, comme au Rwanda, où le président, Paul Kagamé, est accusé de soutenir ce groupe armé. Mais aussi à plus de 6 500 km de là, à Londres. Nul ne le savait, mais les belligérants étaient espionnés par le puissant système de surveillance satellitaire déployé par les services de renseignements électroniques britanniques (GCHQ).

Lire aussi :   Chefs d’Etat, diplomates, hommes d’affaires, le Who’s who des écoutes britanniques en Afrique

Selon des relevés d’interceptions des 13 et 22 janvier, des 12 et 23 février, et du 12 décembre 2009, extraits par Le Monde, en collaboration avec le site The Intercept, des archives de l’ex-consultant de la NSA Edward Snowden confiées à Glenn Greenwald et Laura Poitras, la plupart des négociateurs ont été écoutés. A commencer par le président congolais, Joseph Kabila, dont le numéro de mobile figure sur les listes, de même que son adresse e-mail. On retrouve aussi les courriels, lignes fixes et mobiles de son conseiller spécial et confident, Augustin Katumba Mwanke, de son conseiller politique, Marcellin Cishambo, de son conseiller militaire, le général Denis Kalume Numbi. Toutes les communications de la présidence sont espionnés, tout comme ceux du gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku Kahongya.

Invisible surveillance

Les Britanniques ont également espionné plusieurs ministres sans omettre l’armée qui, en 2009, est en pleine reconstitution avec l’intégration de 5 800 miliciens du CNDP. Les documents du GCHQ témoignent d’ailleurs d’une connaissance fine de l’organisation des forces congolaises. Avec une certaine capacité à identifier les gradés promis à un bel avenir, comme le colonel Kahimbi Delphin, alors chargé des opérations contre les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), un groupe armé hutu formé d’anciens éléments des forces armées rwandaises et de miliciens génocidaires interahamwé. Delphin est aujourd’hui général et chef des services de renseignements militaires. La plupart des responsables opérationnels, du chef du renseignement au chef d’état-major en passant par les hauts gradés en poste à l’est du pays, figurent dans les rapports d’interceptions consultés par Le Monde.

Le numéro de portable de l’ambassadeur de France, Pierre Jacquemot, apparaît aussi dans les relevés d’interceptions, avec un « niveau de priorité 3 », le même que la Mission des Nations unies. Le président Kabila est lui « priorité 4 ». « Le chef de l’Etat a changé de numéro de portable récemment », confie l’un de ses proches conseillers. Contacté, le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, qualifie ces actes d’« hostilités inacceptables ». Et d’ajouter : « La RDC a été victime de ces ingérences dès son indépendance avec l’assassinat de Patrice Lumumba [le 17 janvier 1961] par des agents étrangers. Voilà ce que cela me rappelle. »

Les territoires du Nord-Kivu où évoluent les rebelles sont également sous l’invisible surveillance des Britanniques, quadrillés par leurs satellites qui écoutent leurs chefs. Les alliances se font et se défont au gré des rivalités entre le Rwanda et la RDC, mais aussi de l’Ouganda, où Aronda Nyakairima, chef d’état-major de l’armée ougandaise, impliqué dans les négociations de paix, était aussi espionné par le GCHQ.

Importance du secteur minier

Et si les Britanniques, qui ont accordé un soutien total à Paul Kagamé, doutaient de sa responsabilité dans les massacres et l’exploitation minière dont il est accusé, à l’est de la RDC ? Laurent Nkunda, le charismatique chef de la rébellion du CNDP dont le commandement est principalement tutsi, a bénéficié à ses débuts du soutien du Rwanda de Paul Kagamé – et a été soigneusement écouté par les services anglais. « En 2009, les Britanniques sont alors sous pression de la communauté internationale et des ONG, qui soupçonnent le Rwanda de crimes à l’est de la RDC, confie un diplomate occidental en poste à Kinshasa à l’époque des faits. Par ces écoutes, ils ont peut-être voulu s’assurer de la nature des liens de Kigali avec certains groupes armés. »

Les télécommunications des principaux lieutenants de Laurent Nkunda ont aussi été surveillées. Comme celles de Bosco Ntaganda, qui lui succédera, avant d’être transféré à la Cour pénale internationale en mars 2013. Surnommé « Terminator » pour son extrême violence, ce mercenaire qui a servi dans les rangs de nombreux groupes armés à l’est de la RDC boycotte actuellement son procès, où il est accusé de « crimes contre l’humanité » et de « crimes de guerre ».

Les Britanniques attachent aussi une importance particulière au secteur minier. L’exploitation du sous-sol alimente le conflit armé, motive l’ingérence de pays voisins, et profite à certains membres du pouvoir congolais. Leurs interceptions visent donc aussi les télécommunications du vice-ministre des mines, Victor Kasongo, du riche gouverneur de la province minière du Katanga, Moïse Katumbi, et surtout à plusieurs reprises celles d’Augustin Katumba Mwanke. Ce conseiller spécial du président Kabila régnait sur le secteur, son bureau étant le passage obligé de tout minier désireux de négocier des contrats. Soupçonné par l’ONU d’être le chef d’orchestre du « pillage » des richesses de la RDC, il est mort dans un accident d’avion le 12 février 2012. Contacté, le GCHQ n’a pas souhaité réagir.

Documents Snowden : nos révélations

Le Monde a travaillé directement sur l’intégralité des documents Snowden, confiés par l’ancien agent de la NSA à Glenn Greenwald et Laura Poitras, en collaboration avec le site américain The Intercept, où ils sont stockés sous haute sécurité.

Ces documents montrent :

Cette brève sera actualisée au fur et à mesure de nos révélations.

La réponse de la NSA et du GCHQ aux révélations du « Monde »

« Nous ne faisons jamais aucun commentaire sur des sujets liés au renseignement, a indiqué au Monde le porte-parole des services de renseignement technique britannique (GCHQ). Néanmoins, notre travail est mené conformément au strict cadre juridique et politique qui veille à ce que nos activités soient autorisées, nécessaires et proportionnées, et à ce qu’un contrôle rigoureux puisse être effectué par le secrétaire d’Etat, par la commission parlementaire au renseignement et à la sécurité ainsi que par l’autorité de régulation des interceptions et du renseignement. De plus, le régime légal des interceptions pratiquées par le Royaume Uni respecte totalement la Convention européenne des droits de l’homme. »

De son côté, l’agence nationale de sécurité américaine (NSA) a fait savoir au Monde que « ses activités de renseignement sont en totale conformité avec le cadre juridique et politique en vigueur ».


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/12/08/la-rdc-etroitement-scrutee-par-les-espions-britanniques-et-americains_5045622_3212.html#YLHeECEAQEKGhY7p.99

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