Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
UDPS LIEGE
Archives
22 août 2005

François Mpuila interpelle les parrains de la dictature de Kinshasa.

belux

François Tshipamba Mpuila à l'extreme gauche UDPS BELUX.

A Monsieur Louis Michel

Commissaire Européen au Développement et à l’Action Humanitaire

Parrain du régime Kabila 1+4=0

Concerne: Ma réponse à votre question

1. Pourquoi ma réponse par écrit

Monsieur Louis Michel,

A la fin de la rencontre qui a eu lieu entre vous et une délégation de Congolais, le mardi 19 Juillet dernier, au Bâtiment Berlaymont, Siège de

la Commission

Européenne

, au 6ème étage,vous vous êtes approché de moi pour me dire à voix basse, à l’oreille, tout en me serrant la main en signe d’au revoir:

“Docteur, je vous aime bien, mais je ne sais pas pourquoi le courant ne passe toujours pas bien entre vous et moi”.

M’étant décidé de ne pas faire partie de la délégation qui vous rencontrera prochainement à votre propre demande, je vous réponds par écrit et j’assure la plus large diffusion possible de ma réponse puisquil s’agit d’un problème national et non personnel ou privé entre vous et moi.

2. Le contenu de ma réponse

J’étais étonné de votre étonnement et de votre question, puisque vous connaissez très bien ma réponse à votre question. Je vous l’ai répétée chacune de nos rencontres:

JE VOUS COMPTE PARMI LES RESPONSABLES DE NOTRE HUMILIATION ET DE

LA CATASTROPHE HUMANITAIRE

QUI SEVIT AU CONGO DEPUIS JANVIER 2001

Devant le mépris que vous affichez envers notre dignité humaine, nous les Congolais, et envers notre droit inaliénable de disposer de notre avenir et de nous choisir librement nos institutions et nos dirigeants politiques, vous ne méritez aucun respect, aucun égard de ma part. Je ne vous laisserai pas en paix aussi longtemps que vous pervérérez dans cette vision et cette praxis esclavagistes et qui empoisonnent et compromettent les bonnes relations qui doivent exister:

-         entre votre Parti politique (MR) et le Peuple Congolais,

-         entre nos deux Peuples (Peuples belge et congolais),

-         entre l’Union Européenne et notre Pays,

entravent l’avènement d’un Etat de droit démocratique pluraliste, moderne et prospère au Congo et perpétuent l’esclavage, la souffrance, la misère, la désolation, les horreurs, les atrocités, le deuil et le sous-développement dans notre Pays.

Vous avez constaté, à travers les interventions de chaque membre de la délégation congolaise au cours de la rencontre du 19 Juillet dernier, que vous avez un problème sérieux et général avec tous les Congolais et non seulement avec le seul Dr Mpuila, ni avec Monsieur Etienne Tshisekedi seul, ni avec l’UDPS seule. Un membre de la délégation vous a dit que vous avez un problème avec les 60.000 millions des Congolais. Un autre membre a dénoncé vos relations avec Monsieur Forrest et affirmé que les Congolais seront bientôt contraints par vous à recourir aux armes et à devenir les poseurs des bombes pour défendre l’indépendance et la souveraineté nationales, leur liberté et faire respecter la volonté souveraine de notre Peuple par tous (Congolais et Etrangers).

Ce ne sont pas vos menaces qui nous feront reculer. Nous sommes prêts à tout endurer pour libérer notre Patrie et notre Peuple, quoiqu’il en coûte.

3. Rappel du Document du 13 Juillet 2005

Monsieur Louis Michel,

Le 13 Juillet dernier, notre Bureau de l’UDPS/BELUX a publié un document (Réf.: RBL/UDPS/DE/116/13/07/2005) intitulé “Pas de vote pour le MR, parti politique de Louis Michel”.

Dans ledit document, nous affirmions que vous êtes en réalité, malgré toutes les apparences trompeuses, “un esclavagiste sadique, un prédateur vorace, un indigne représentant de la classe politique belge et de la société démocratique occidentale, un porte-malheur pour

la RDCongo

, pour l’Afrique, pour les peuples belge, congolais et africains ainsi que pour tous les vrais démocrates du monde libre”.

4. Le SIT-IN des Congolais devant le siège du MR, votre parti

Le 18 Juillet, les Congolais ont organisé un SIT-IN devant le Siège de votre Parti, MR (Rue des naples, n° 41, 1050 Bruxelles). Vous avez certainement été informé sur le contenu des calicots qu’exhibaient les Manifestants aux Membres de votre Parti, du Bureau du MR et aux passants. Ce n’était digne ni du MR ni de vous-même. Vous avez pu, à travers l’Internet, lire aussi, le contenu des banderoles et des calicots des Manifestants congolais à travers le Monde le 30 Juin dernier. Votre nom revenait, aux côtés des criminels du régime Kabila 1+4=0, sur plusieurs banderoles et calicots de ces Manifestants. Les qualificatifs utilisés à votre endroit par les Manifestants, dans toutes les langues et dans tous les pays, ne vous honoraient guère.

5. Votre coup de téléphone

Le lendemain de la publication de notre document (14 Juillet 2005), vous m’avez téléphoné, à 6h du matin. Vous m’avez retenu au téléphone pendant près de 30 minutes. Pendant ce temps, fait d’un monologue terriblement ennuyeux pour moi, vous vous épuisiez dans de vains efforts pour me répéter que vous n’étes pas un esclavagiste. Vous étiez pourtant en train de le le confirmer car vous ne me laissiez même pas une seule seconde pour vous répondre, signe de mépris de l’interlocuteur. 

Quand vous aviez déversé complètement votre bile et que vous étiez fatigué de parler, vous m’avez enfin laissé le temps de vous répondre. Nous avons convenu qu’une rencontre soit organisée entre nous. J’ai tenu à ce qu’elle se déroule en présence des témoins. Vous avez accepté et promis d’en prendre l’initiative.

6. Messages reçus de nombreux belges

Suite à la diffusion de notre document du 13 Juillet dernier, plusieurs messages de soutien et d’encouragements nous sont parvenus émanant de vos compatriotes belges qui nous donnent raison et qui souhaitent que tous les Congolais comprennent notre message.

7. La rencontre du 19 Juillet 2005

Ensuite, vous avez organisé la rencontre du 19 Juillet dernier. J’ai tenu à ce que plusieurs compatriotes membres de différentes organisations politiques et sociales y participent pour vous aider à constater de visu, vous-même, l’opinion exacte des Congolais sur vous.

Le Service de Protocole de

la Commission

Européenne

vous a certainement dit qu’il a limité le nombre à dix délégués mais qu’il avait à faire à plusieurs congolais qui se bousculaient à la porte d’entrée du Bâtiment Berlaymont, fulminant de rage, et qui tenaient à venir vous affronter pour vous dire les 4 vérités les yeux dans les yeux, sans intermédiaire.

Le seul élément positif de cette rencontre pour moi est le fait que tous les congolais membres de notre délégation et appartenant aux organisations politiques et sociales différentes vous aient tenu un même langage et aient été même plus virulents que moi contre vous.

8. Rappel de nos vains efforts

Monsieur Louis Michel,

Lors de votre arrivée au Ministère belge des Affaires Etrangères, le Bureau de Représentation de l’UDPS/BELUX vous avait spontanément adressé des félicitations et exprimé notre reconnaissance pour votre acte noble, fraternel et humanitaire consistant à réveiller lattention des Gouvernants belges, de l’Union Européenne et de toute

la Communauté Internationale

sur le drame du Peuple Congo et de

la Région

des Grands Lacs. Cohérents et conséquents avec nous-mêmes, nous avions mis à votre disposition toute l’expertise évidente de notre Parti qui a lutté sur le terrain pendant plus de 20 ans et dont le diagnostic de la cause profonde de la crise congolaise (absence d’Etat et de démocratie) s’est avéré le plus adéquat qui soit et la solution proposée la plus appropriée (avènement d’un Etat de droit démocratique, pluraliste, fédéral, moderne et prospère). Notre volonté sincère était de vous aider dans votre lourde tâche. Et sans tarder, nous vous avions remis un document pertinent sur l’évolution de la situation politique congolaise en général et sur la crise congolaise en particulier.

Nous avions notamment apporté, à votre connaissance, les Résolutions historiques de

la Conférence

Nationale

Souveraine (1991-1992), le plus grand forum des Négociations politiques nationales depuis 1960 à ce jour, où les 2850 Délégués, issus de toutes les couches, toutes les catégories, toutes les tendances et tous les courants de l’ensemble de notre Société, avaient refait la lecture de l’histoire nationale, diagnostiqué la cause profonde de la crise congolaise (absence dEtat et de démocratie) et balisé l’avenir en mettant en place les fondements d’un Etat de droit démocratique.

Et puisque

la Conférence

Nationale

Souveraine n’avait pas arrêté la marche de l’histoire, il est question, hier et aujourd’hui, pour les Compatriotes Congolais, les Partenaires et Amis du Peuple Congolais, compte tenu de l’évolution de l’histoire nationale et internationale et dans le contexte de la mondialisation, d’enrichir ces Résolutions conformément à la loi de la sédimentation (et non de la substitution, de la table rase, du surgissement pur à chaque instant) qui préside à l’évolution, au développement et au progrès des hommes, des peuples et des sociétés. C’est cette loi de la sédimentation qui est suivie en Belgique et dans tous les pays démocratiques de l’Occident. Les les hommes, les sociétés et les peuples qui veulent repartir toujours ex tabula rasa se condamnent à la stagnation, à la scélérose, à la nécrose et à la perte.

Monsieur Etienne Tshisekedi, Président National de notre Parti, lors de son séjour en Belgique (2000-2001), vous avait lui-même réitéré, de vive voix, les félicitations et la reconnaissance de tout notre Peuple et apporté les propositions concrètes pour vous aider à contribuer à une paix durable, à la stabilité politique et au développement endogène au Congo et dans

la Région

des Grands Lacs..

Mais hélàs, nous dû déchanter dès janvier 2001, dès qu’Hypolite Kanambe, alias Joseph Kabila, lors de l’assassinat de LD Kabila, nous a été imposé par les forces esclavagistes comme Président de

la République.

Vous

étiez parmi les premiers à dérouler, à Bruxelles, un tapis rouge devant ce taximan de Dar-Es-Salam et soldat de l’Armée Patriotique Rwandaise qui n’eut comme première fonction et responsabilité, dans sa vie, que d’être Président du Congo, et à le présenter au Monde entier comme le Messie tout attendu qui allait enfin sortir le Congo d’une crise politique profonde, persistante, multidimensionnelle et multiforme.

9. Vos actes et vos déclarations

Monsieur Louis Michel,

Je ne reviens pas sur la longue litanie des preuves de vos actes posés et de vos déclarations faites pour:

-         Empêcher la tenue du Dialogue Intercongolais (DIC) et faire légitimer Hypolite Kanambe, alias Joseph Kabila par

la Communauté

Internationale

sans le DIC.

-         diriger le DIC lorsque vous avez constaté, suite à la détermination de notre Peuple et à celle de certains décideurs internationaux, que le DIC était devenu inévitable. Vos déclarations et initiatives intempestives et indues en ce moment-là, sans aucun respect des premiers concernés par le DIC (Acteurs politiques et sociaux congolais et le Facilitateur officiel reconnu par les Congolais et par

la Communauté

Internationale

), ont même  fini par énerver Monsieur Ketumile Masire. Ulcéré, ce dernier finit par vous dénoncer dans une interview à

La Libre

Belgique.

-         Manipuler certains acteurs politiques et sociaux congolais et leur dicter d’avance les décisions qu’ils devaient prendre au DIC (Cfr Votre Messe noire organisée à Bruxelles en janvier 2002, pompeusement appelée “Table Ronde de Bruxelles”). A l’issue de cette Messe noire, vous avez fait signer aux participants une déclaration dans laquelle ils reconnaissaient déjà Hypolite Kanambe, Joseph Kabila comme Président du Congo pendant

la Transition

post-DIC alors que l’Accord de Lusaka, texte fondateur du DIC n’imposait aux Congolais aucune institution et aucun dirigeant politique au préalable et accordait à tous les Délégués un statut identique.

-         Vous avez parrainé l’arrangement frauduleux et pirate Kabila-Bemba du 19 avril 2002, astuce échafaudé pour bloquer le processus qui était déjà en cours au DIC, sur base du Document Mbeki II, vers un Accord global et inclusif. Ledit arrangement allait donc faire échouer le DIC, prolonger la crise, la souffrance et la misère de notre Peuple, consacrer la balkanisation de notre Pays et même faire du Congo une colonie militaire du RCD et du Rwanda. Vous avez, en lieu et place du Ministre belge des Transports, sauté dans le vol inaugural de la ligne Bruxelles-Kinshasa, de SN Brussels Air Lines, jusqu’à Kinshasa pour aller, devant les caméras de la télévision congolaise et belge, féliciter les signataires dudit arrangement et promis de faire le tour du monde pour obtenir l’adhésion générale audit arrangement. Notre détermination et celle de certains décideurs internationaux ont fait échouer ledit arrangement, ramené les délégués à la table des négociations à Sun City,  obtenu la signature de l’Accord global et inclusif et le début de

la Transition.

-         Vous avez contribué, dès le début de la transition, à l’exclusion de la gestion du pays pendant

la Transition

, des principaux Artisans de l’Accord global et inclusif et dignes représentants de notre Peuple (dont Monsieur Etienne Tshisekedi).

-         Vous avez présenté, à la face du Monde, jusqu’à votre départ du Ministère belge des Affaires Etrangères, une radioscopie erronée de la gestion de

la Transition

par vos poulains. Pour vous, tout allait très bien dans le meilleur du monde qu’était le Congo. A chaque question qui vous était posée, vous répondiez que le Congo n’avait jamais été si près du bout du tunnel. Il a fallu que Monsieur Karel De Gucht vous remplace au n° 15, Rue des Petits Carmes, pour que le Monde entier découvre enfin la vérité franche sur le Congo. Le Monde découvrit enfin que la gestion du Congo dont vous ne tarissiez pas d’éloges ressemblait à un tombeau pourri à lintérieur mais blanchi à l’extérieur par vos fleurs et vos louanges. A la suite de Monsieur Karel De Gucht, différentes Organisations Internationales ont dénoncé la catastrophe humanitaire dans laquelle vous avez, vous et vos poulains, précipité le Congo.

-         Alors que, dans vos nouvelles fonctions, vous êtes Commissaire Européen au Développement et à l’Action humanitaire, vous n’avez pas hésité à usurper les compétences et les prérogatives de Monsieur Javier Solana pour continuer à couvrir, sous vos ailes, vos poulais au pouvoir à Kinshasa. Vous vous êtes permis d’aller à Kinshasa, à l’approche du 30 Juin 2005 (date de la fin constitutionnelle de

la Transition

), menacer nos journalistes et notre Peuple et ordonner à vos poulains de massacrer nos populations en cas de l’organisation des manifestations le 30 Juin 2005. Vous êtes le Premier Responsable de la catastrophe humanitaire en cours au Congo et de tous les crimes commis par vos poulains contre notre Patrie et contre notre Peuple durant toute

la Transition

et le Commanditaire n° 1 du terrorisme d’Etat, de linsécurité généralisée, des violations massives et systématiques des libertés et des droits de l’homme, du pillage accéléré et inconsidéré des richesses nationales qui ont marqué

la Transition

et de tous les massacres à grande échelle perpétrés au Congo par vos poulains et les mercenaires depuis le début de Juin 2005 à ce jour.

10. Tôt ou tard: la justice sera faite à notre Patrie et à notre Peuple

Tôt ou tard, les fils du Congo feront découvir à la face du Monde, par le canal des Tribunaux Internationaux, votre nature franche et vous demanderont des comptes.

11. Notre détermination à mener la campagne contre le MR, votre parti

D’orès et déjà, je suis de ceux qui mènent une campagne contre le MR, votre parti politique, auprès tous les belges d’origine congolaise, de tous les africains, de tous les belges qui sont les vrais amis du Peuple Congolais, qui souhaitent que les Congolais se décident eux-mêmes sur l’avenir de leur pays, sur les institutions et les dirigeants poilitiques issus de leur choix libre et souverain et  que s’érige, au Congo, un Etat de droit réellement et effectivement indépendant et souverain, démocratique, moderne et prospère.

Le but de cette campagne intitulée “Pas de vote pour le MR, parti de Louis Michel”, est de voir votre parti, le MR, renvoyé dans l’opposition aux prochaines élections belges, à tous les niveaux. Vous serez ainsi mis hors d’état de nuire à lavenir de notre Patrie et de notre Peuple ainsi qu’aux bonnes relations qui doivent exister:

-         entre nos deux Peuples (Peuples belge et congolais), et

-         entre l’Union Européenne et notre Pays.

Veuillez agréer, Monsieur Louis Michel, l’expression de mes sentiments attristés.

Fait à Bruxelles, le 10 août 2005.

Dr François tshipamba Mpuila

Publicité
Commentaires
K
Messieurs,<br /> <br /> Je suis activiste du parti depuis plus d'une decennie. Et voudrez entrer en contact avec le camarade philippe Mandangi Dikizeyiko, Répresentant du parti en grande Bretagne, qui depuis les incidents malheureux en août 2006 à Londres je n'ai plus de ses nouvelles et coordonnées. Si vous avez l'opportunité prière de lui transmettre mon e-mail, seul cherchera à joindre.
Répondre
S
Cher ami le Dr Mpwila<br /> <br /> Vous avez totalement raison. Comment Louis Michel peut-il expliquer son soutien gratuit à Joseph Kabila autrement que par leur complicité dans l'assassinat de Laurent Désiré Kabila ? L'UDPS a bien fait de ne jamais accepter la corruption. Certes Laurent Désiré n'a pas été corrompu, au contraire. Mais son erreur est d'avoir fait confiance à un fils adoptif d'origine rwandaise. Les katangais qui entourent ce garçon, et qui n'ont de justification que cette soif aveugle du pouvoir qui les caractérise depuis l'époque de Mobutu, sont victimes d'une stratégie satanique dont seuls Louis Michel et ses pairs connaissent le secret. Il faut être aveugle pour s'associer à ce garçon dans le seul but d'obtenir un poste de responsabilité dans l'avenir. La soeur de Kabila père avait été assassinée par la garde présidentielle de Joseph à cause d'avoir sofflé cette vérité aux oreilles d'un proche dont elle ignorait la nationalité rwandaise. <br /> <br /> Certains milieux d'affaires, les néo-capitalistes étrangers rêveaient d'entrer gratuitement en possession des richesses minières congolaises. Et ils ne peuvent le faire que dans la mesure où le régime en place ne le leur permette. Kabila père avait réfusé ce projet imbécile. Il en a donné sa vie.<br /> Tshisekedi aurait déjà été tué comme les puissances sataniques l'ont fait avec Laurent Désiré. Le criminel fils adoptif Joseph Kanambe a signé et fait signer des contrats qui hypothèquent la nation. C'est pourquoi les puissances sataniques, représentées par Louis Michel le soutiennent sans réserve. Le rappel historique suivant mérite d'être lu par chaque congolais, surtout dans le Katanga, les deux Kivu, le Maniema, le Haut-Congo ...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Qui est responsable de l'assassinat de Laurent Désiré Kabila ?<br /> <br /> Les circonstances objectives de l'assassinat le 16 janvier 2001 du Président congolais Laurent Désiré Kabila restent inconnues à plus d'un titre. Qui la tué, pour quoi, quand et qui ont commandité cet acte à l'intérieur du pays comme à l'extérieur ?<br /> <br /> Le samedi 8 juillet 2006<br /> <br /> <br /> A version officielle présente des failles et soulève des interrogations que nous livrons à la réflexion du lecteur. Il y a aussi le fait troublant du Congo qui, au mois de juin 1999 accuse en bloc le Rwanda, le Burundi et l'Ouganda d'avoir envahi et occupé militairement son territoire et, juste la veille de l'assassinat de Laurent Kabila, retire sa plainte contre le Rwanda et le Burundi, tout en la maintenant contre l'Ouganda ! <br /> <br /> Notre démarche ne cherche pas à faire l'apologie de Laurent Désiré Kabila dont la politique et les comportements étaient aux antipodes des nôtres. Mais, même arrivé au pouvoir par accident, il était le chef d'Etat d'un pays, le Congo-Kinshasa et présidait aux destinées d'un peuple, le peuple congolais. Il a été assassiné le 16 janvier 2001 à Kinshasa et remplacé par un jeune militaire de 29 ans, inconnu jusqu'alors sur la scène politique. Le devoir de vérité nous oblige à nous interroger. Mais avant cela, voici la chronologie des événements. <br /> <br /> La chronologie des faits <br /> <br /> Les évènements repris ici sont ceux qui sont reliés aux moments qui ont précédé, accompagné et suivi l'assassinat de Laurent Désiré Kabila, président de la République Démocratique du Congo. Pour la clarté du texte nous nommerons Kabila le président assassiné et Kabila Kanambe celui qui lui a succédé. <br /> <br /> Kinshasa, 23 juin 1999<br /> Le Congo saisit la Cour internationale de justice, CIJ, pour la première fois, accusant le Rwanda, l'Ouganda et le Burundi d'avoir envahi et occupé illégalement son territoire et violé sont intégralité territoriale. <br /> <br /> La Haye, 21 octobre 1999<br /> Compte tenu des accords intervenus entre les parties, la cour décide par ordonnance que les pièces de la procédure écrites porteront d'abord sur la question de la compétence de la cour et de la recevabilité des requêtes. Et elle fixe le délai pour le dépôt des pièces : le 21avril 2000 pour le dépôt des mémoires des trois pays accusés le 23 octobre 2000 pour le dépôt du contre mémoire de la République Démocratique du Congo. Par ordonnance du 19 octobre 2000, la cour reportera le délai du Congo au 23 janvier 2001. <br /> <br /> Kinshasa, fin octobre 2000<br /> Kabila, malade, subit des examens médicaux qui révèlent, semble-t-il, un empoissonnement alimentaire. Soupçonnée de tentative d'empoissonnement sur la personne du chef d'Etat, Madame Sifa Mahanya, sa compagne, est arrêtée et conduite à la prison de Makala. <br /> <br /> Kinshasa, 11 janvier 2001<br /> A l'insu du chef de l'Etat, Joseph Kabila Kanambe, fait libérer madame Sifa Mahanya, qui est aussitôt amenée à Lubumbashi où elle est cachée <br /> <br /> Lubumbashi, 12 janvier 2001<br /> Le président Kabila s'apprête à se rendre au Cameroun pour le sommet de la Francophonie, Kabila Kanambe, le déconseille de s'y rendre parce que sa vie y serait en grand danger. De Lubumbashi, le chef de l'Etat annule son voyage et regagne Kinshasa. <br /> <br /> Kinshasa, 15 janvier 2001<br /> Sur ordre du général major Kabila Kanambe, chef d'état major et commandant des forces terrestres, tous les militaires des forces armées résidant à Kinshasa sont désarmés. Sans explication. <br /> <br /> Kinshasa, le même jour<br /> Le gouvernement congolais fait savoir à la cour internationale de justice que son pays se désiste de ses accusations contre le Rwanda et le Burundi, mais maintient celles contre l'Ouganda. Les gouvernements rwandais et burundais sont aussitôt informés par la CIJ du désistement congolais et ont jusqu'au 23 janvier 2001 pour s'opposer éventuellement à ce désistement. <br /> <br /> Kinshasa, le même jour<br /> Sur ordre du général major Kabila Kanambe, le colonel Eddy Kapend, aide de camp du Chef d'Etat, ordonne l'arrestation de M. Ismaël Tutwemoto, chef principal de la Direction Extérieure de l'Agence Nationale des Renseignements, ANR/DE, alors qu'il revient dune mission à l'étranger. M. Georges Leta Mangasa, administrateur général en chef de l'ANR, procède à l'arrestation. Détenu pendant deux mois, M. Tutwemoto sera libéré sans explication sur les raisons de son incarcération. <br /> <br /> Kinshasa, le même jour<br /> Le chef d'état major Joseph Kabila Kanambe s'envole pour Lubumbashi. <br /> <br /> Kinshasa, 16 janvier 2001<br /> Dans la mi-journée des coups de feu retentissent dans l'enceinte du Palais de Marbre, la Résidence présidentielle. Laurent-Désiré Kabila, atteint à la tête, meurt peu après. <br /> <br /> Paris, le même jour<br /> Radio France internationale, RFI, parle de « quelque chose de très grave « qui s'est passée au Palais présidentiel ». Pendant que les médias audiovisuels officiels de Kinshasa continuent à émettre comme si rien n'était. <br /> <br /> Bruxelles, le même jour<br /> Le ministère (Louis Michel )belge des affaires étrangères, annonce la mort de Kabila par assassinat. Dans l'après-midi la diplomatie belge reprend la nouvelle au conditionnel. <br /> <br /> Kinshasa, le même jour<br /> Laide de camp du chef de l'Etat, le colonel Kapend, apparaît sur les écrans de la chaîne publique de TV, les yeux hagards, les lèvres sèches et, sur un ton sec et autoritaire, se présente et ordonne à toute la hiérarchie militaire, citée nommément, de « maintenir les troupes au calme et de fermer toutes les frontières du pays ». Sur les raisons de cette déclaration qui ressemble à un putsch militaire, Eddy Kapend ne dit rien, mais promet des informations pour plus tard. Il ne réapparaîtra que le 23 janvier dans la garde d'honneur lors des funérailles du président Kabila. <br /> <br /> Kinshasa, plus tard toujours le même jour<br /> Le ministre de l'information et porte-parole du gouvernement, Dominique Sakombi, prend le relais de Kapend pour annoncer au peuple congolais et au monde que « lors de tirs de coups de feu dans le Palais de Marbre, le président Laurent Kabila a été blessé et transporté à Harare, Zimbabwe, pour des soins. Au nom du de la République et du peuple congolais, il lui souhaite une prompte guérison et un bon retour parmi les siens. <br /> <br /> Kinshasa, dans la soirée du même jour<br /> La dépouille mortelle de Laurent-Désiré Kabila s'envole pour Harare via Lubumbashi ; le Chef d'Etat major, le commandant des forces armées terrestres Joseph Kabila Kanambe fait partie du voyage. <br /> <br /> Kinshasa, 18 janvier 2001<br /> Le ministre de la communication annonce la mort de Laurent Kabila « survenu ce jour », dit-il, dans un hôpital de Harare au Zimbabwe. Des circonstances de sa mort, le porte-parole du gouvernement explique « qu'un garde du corps est entré dans le bureau du Chef de l'Etat et s'est approché de lui comme pour lui parler à l'oreille. C'est à cet instant qu'il a sorti son arme et a tiré à bout portant sur le président Kabila. Le conseiller économique, Emile Mota, qui était en séance de travail avec le chef de l'Etat, est sorti alerter la garde présidentielle qui a abattu le tueur qui tentait de fuir ». Le nom du tueur n'est pas cité et ne le sera jamais. <br /> <br /> Bujumbura et Kigali, 19 et 21 janvier 2001<br /> Le Burundi et le Rwanda informent respectivement la Cour internationale de justice qu'ils acceptent le désistement du Congo notifiée à la CIJ le 15 janvier du mois en cours. <br /> <br /> Kinshasa, 23 janvier 2001<br /> Laurent-Désiré Kabila est inhumé. Entre-temps, le général major Joseph Kabila Kanambe, chef de l'armée de terre, succède à « son père ». Il a vingt neuf ans. (N.B. à la descente d'avion de Joseph Kabila, c'est Louis Michel qui l'accueille par des ambrassades qui ne trompent personne: ils viennent de réussir leur coup satanique) <br /> <br /> Kinshasa, à cette même occasion<br /> Pour la première fois, la télévision publique présente Madame Sifa Mahanya, revenue de Lubumbashi, comme l'épouse du défunt Laurent-Désiré Kabila et la mère du nouveau président Joseph Kabila Kanambe. <br /> <br /> Des interrogations gênantes <br /> <br /> Voilà la trame des événements qui ont précédé, accompagné ou suivi l'assassinat de Laurent-Désiré Kabila ce 16 janvier 2001. Comme dit dans le préambule, cette chronologie soulève plusieurs interrogations restées sans réponse à ce jour. En voici quelques unes choisies arbitrairement, il faut l'avouer. <br /> <br /> Tout d'abord, comment comprendre ce comportement du gouvernement de Kinshasa qui, après avoir saisi le 23 juin 1999 la Cour internationale de justice d'une plainte contre le Rwanda, le Burundi et l'Ouganda pour envahissement et occupation militaire du Congo, retire 18 mois plus tard, le 15 janvier 2001, sa plainte contre le Rwanda et le Burundi, mais la maintient contre l'Ouganda ? <br /> <br /> Si oui, pour quelles raisons ? Si non qui la fait et dans quel but ? Dans un cas comme dans l'autre, pourquoi retirer les charges contre le sanguinaire Paul Kagame et son collègue du Burundi, et maintenir les mêmes charges contre Musevenyi ? La coïncidence des dates entre ce désistement du Congo et les préparatifs de l'assassinat de Laurent Kabila sont troublants. Pour le moins ! <br /> <br /> Il y a ensuite le cas de Mme Sifa Mahanya, jetée en prison par Désiré Kabila pour tentative d'empoisonnement sur sa personne, libérée secrètement par Joseph Kabila Kanambe pour la cacher à Lubumbashi. Ce n'est qu'après son assassinat qu'elle apparaît comme son épouse et la mère de Joseph Kabila Kanambe. Pourquoi cette apparition soudain à ce moment là ? <br /> <br /> Mme Sifa est-elle la mère biologique, la tutrice de Joseph Kabila Kanambe ou une complice d'intrigue ? Serai-ce une fabulation inventée pour forger une filiation « juteuse » au successeur de Laurent Kabila ou la réalité des faits ? <br /> <br /> Quant à Laurent Kabila lui-même, est-il le géniteur de Kanambe, son tuteur ou son père adoptif légal ? Pourquoi Kabila s'est-il toujours refusé de son vivant à présenter au peuple congolais sa famille ? <br /> <br /> Un autre point d'ombre <br /> <br /> Ces informations de dernière minute apportées le 12 janvier à Kabila par « son fils » selon lesquelles sa vie était en danger s'il se rendait au sommet de la Francophonie à Yaounde au Cameroun. Obligeant le chef de l'Etat à regagner Kinshasa où, Joseph Kabila Kanambe veillait sur sa sécurité. Laurent Kabila est assassiné quatre jours après dans son Palais. La veille de l'assassinat, Joseph Kabila Kanambe, commandant en chef des troupes terrestres, fait désarmer tous les militaires des garnisons de Kinshasa, laissant la capitale du pays sans protection. Qu'est-ce qui motive cette grave décision, si ce n'est pour prévenir une réaction armée à l'assassinat du chef de l'Etat programmé pour le lendemain ? A mettre aussi en parallèle, l'appel au calme lancé peu après la mort de Laurent Kabila par son aide de camp, le colonel Kapend, alors qu'il sait pertinemment que les garnisons de Kinshasa sont démunies d'armes et de munitions. <br /> <br /> Autre anomalie : la veille de l'assassinat de ? Joseph Kabila Kanambe non seulement désarme les troupes de Kinshasa, non seulement il fait arrêter un haut responsable du renseignement de l'ANR/DE rentrant dune mission à l'étranger, mais tranquillement il s'envole le même jour pour aller passer la nuit à Lubumbashi ! Que va-t-il faire à Lubumbashi, lui qui sait que le danger de mort guette son « père » qu'il a convaincu de revenir à Kinshasa ? Il est curieux de constater que personne ne demandera à Joseph Kabila Kanambe des comptes sur son comportement pour le moins surprenant ! Sous d'autres cieux africains, à plus forte raison dans les capitales occidentales, le commandant en chef des forces terrestres aurait été sommé de s'expliquer devant une commission d'enquête diligentée par l'assemblée nationale. <br /> <br /> Autre interrogation. Pourquoi le gouvernement congolais ment-il sur la date de la mort du chef de l'Etat ? En effet, les médecins de la clinique auprès de qui le blessé est amené peu après le ou les coups de feu ne peuvent que constater son décès. Pourquoi alors cette mascarade de soins dans une clinique à Harare, alors qu'il ne s'agit plus que d'une dépouille mortelle ? <br /> <br /> Ce mensonge a nourri toutes sortes de rumeurs dont la plus courue est celle d'un coffre fort de Laurent Kabila à Harare qui ne pouvait s'ouvrir qu'avec l'empreinte de ses doigts. Le ridicule de la situation, c'est que pendant que Dominique Sakombi s'évertue à souhaiter une bonne guérison au président blessé, les medias du monde annoncent à qui veut l'entendre que Laurent Désiré Kabila est mort sur le coup, et le peuple congolais est ainsi informé par ces mêmes medias. <br /> <br /> Commanditaire(s), complice(s) et exécutant(s) <br /> <br /> Qui a tué Kabila, qui a donné l'ordre, qui a décidé de son assassinat ? Au niveau de l'assassinat physique, deux versions différentes circulent. <br /> <br /> Il y a d'abord celle du ministre Sakombi qui parle « d'un collaborateur proche de Kabila dont la présence dans bureau à cette heure là de la matinée ne soulève aucun problème ». Il tue le chef de l'Etat à bout portant, mais épargne son conseiller économique ; le seul témoin oculaire de la scène, dont le témoignage aurait pu accabler le tueur devant la justice, s'il avait été pris vivant, a la vie sauve ! <br /> <br /> La seconde version est celle d'un commando de libanais qui aurait éliminé Laurent Kabila, se serait fait prendre à son tour, aurait été jugé et exécuté. Quoi qu'il en soit, il ne s'agit là que d'exécutant. Mais les vrais commanditaires au plan intérieur demeurent cachés. <br /> <br /> L'histoire, le temps et la patience finiront par les révéler ; aussi serait-il naïf d'attendre une quelconque indication de ceux qui sont au pouvoir au Congo aujourd'hui. N'ont-il pas engrangé les bénéfices de l'assassinat de Laurent Désiré Kabila ? N'empêche que le peuple congolais veut, et c'est son droit, connaître la vérité sur le rôle jugé dans cet assassinat par un Joseph Kabila Kanambe ? L'homme est un dissimulateur, on le sait, mais il existe un faisceau de faits objectifs qui le rattache à l'assassinat de son père. <br /> <br /> Premièrement, Mme Sifa est jetée en prison par Kabila « père » pour tentative d'empoisonnement ; mais elle est libérée par Kabila « fils » et cachée à Lubumbashi d'où elle sortira à la mort de Laurent Kabila pour prétendre à la maternité de Kabila « fils » d'avec le défunt Kabila. <br /> <br /> En second lieu, le chef de l'Etat en partance pour le sommet de la francophonie annule son déplacement sur le conseil de Kabila « fils » qui affirme avoir des informations sérieuses sur un « plan d'exécution » mis en place contre « son » père pendant ce sommet. <br /> <br /> En troisième lieu, il y a le fait que la veille de l'assassinat, Kabila « fils » désarme les troupes de Kinshasa et fait arrêter le porteur d'un message de première importance venu de l'extérieur, destiné à Kabila « père ». <br /> <br /> En quatrième lieu, ayant accompli cela, Kabila Kanambe s'éloigne de Kinshasa, le lieu du trame imminent, pour aller passer la nuit à Lubumbashi, où l'a précédé Mme Sifa. D'où il apprendra le lendemain l'assassinat de son « père ». Kabila Kanambe, connaissait le danger de mort qui planait sur la tête de Laurent Kabila. Il l'a fait revenir de Lubumbashi pour le fixer à Kinshasa et, à son insu, dépouillé de ses forces militaires et coupé de ses sources d'information resserrant peu à peu l'étau autour de son cou. Ce n'est pas Joseph Kabila Kanambe qui a tiré le coup de feu fatal qui a tué Laurent Désiré Kabila, mais il ne peut pas affirmer qu'il en est étranger. Ses gestes sont ceux d'un homme qui plante le décor où va se produire un grand événement, lourd de conséquences. <br /> <br /> Conclusion ? <br /> <br /> On nous accusera d'être des fous enragés qui voulons à tout prix accuser Joseph Kabila Kanambe d'un crime qu'il n'a pas commis, puisqu'il était loin de là quand il a eu lieu. C'est un argument usé que personne de sérieux ne peut retenir. <br /> <br /> Avouons cependant que la preuve formelle n'est pas faite de la culpabilité des intervenants rapprochés de la mort de Laurent Kabila et la mascarade de l'arrestation du colonel Eddy Kapend ne trompe personne de bon sens. La vraie enquête débarrassée des passions reste à faire. Elle seule pourra établir les faits impliquant les principaux acteurs de ce drame dont Joseph Kabila Kanambe et Eddy Kapend occupe la scène pour s'y être mis eux-mêmes. D'autres existent à travers le pays, l'Afrique et le monde. <br /> <br /> C'est un devoir de vérité que nous devons, nous peuple congolais pour exorciser les démons du mensonge et de la dissimulation érigés en système de gouvernement. Entre autres. <br /> <br /> © Journal Canal Futur<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> N.B Dans une des interview accordées à la presse congolaise peu après le référandum <br /> <br /> Kabila Joseph répond à une question sur ses priorités économiques au cas où il gagnait les présientielles:<br /> <br /> "Nous allons reconstruire les routes pour permettre aux investisseurs étrangers de mieux évacuer les richesses minières du Congo vers l'extérieur" voilà le sens clair de la constitution pour laquelle Joseph Kabila a demandé le vote aux congolais naïfs. N.B. la famille de Louis Michel est parmi ces nouveaux investisseurs qui veulent piller de nouveau le<br /> Congo comme de 1885 à 1960. <br /> <br /> Congolais! allez-vous accorder votre vôte aux pillards ? <br /> A bon entendeur salut.
Répondre
M
Je viens par ce présent msg te dire que bien qu'en retard tu es digne de defendre la liberté de la NATION CONGOLAISE PARTANT DE SON ¨PEUPLE,louis Michel doit savoir que le congolais est conscient de tous les maux qui ns endurent ,il ne doit pas se tromper ns sommes très vigilents de tous les actes audieux qu'ils s'arrangent à faire avec leur cadet Hipollite Kanambe pour diviser et destabiliser le Congo pourqu'à jamais la perpetuité de la soufrance des congolais augmentent de là certains fils du congo se trouveront dans l'obligation d'accepter malgré eux la peine que ns endurent Kanambe et ses parrains comme Louis Michel ,Aldo Ayelo,Xavier Solana,Forrest ......,dc je t'encourage à continuer la lutte ,ns savons que vs serez tenter par la corruption mais soit vigilent le combat que vs amener est pour ns tous vs comme vs avez l'initiative de rencontrer ses gens là alors continue et soit vigilent pcque ns vs regardons et demandons à Dieu, de, vs donner la force et vs proteger aussi.<br /> Tenez bon ns vaincrons ses assassins pilleurs et desastrateur de la tranquilité du congo.<br /> Fils du congo.
Répondre
R
Cher combatant,<br /> Felicitation pour les informations que vous publier a travers votre site pour tenir le peuple Congolais en eveil. Je voudrai faire une suggestion au sujet de fameux election truquee. Vous aviez dis: Afin de mieux asseoir leur autorite J Kanambe et sa suite ont ecartes meme les chefs de localites, de collectivites pour favoriser l'arriver massive des etranges deverses sur notre teritoire.Et ils ont places l'Abe Malu Malu pour acceuillir ces etrangers.Je propose que l'UDPS organise tous ces chefs qu'on ecartent, afin qu'ils fassent un recensement secret de tous les nouveaux venus dans les localites,les quartiers,les villages et dans les communes. Vers les annees 1980, j'ai habite le Congo-Braza et dans le quartier on m'appelait Zairois. Juste pour faire la difference entre un otoctone et un etranger. Prenons courage et veuillons. La lutte est longue mais nous vaincrons. Endurons dans les epreuves et nous vaincrons.<br /> Le combattant<br /> Romy Luyindula<br /> Romy
Répondre
K
Monsieur Mpuila, Salut, je viens de lire avec un léger retard votre message adressé à Louis Michel,celui-ci ne m'a pas étonné car je connais votre rigeur sur le problème de congo, J'avais une fois suivi votre conférence à Francfort (Allemagne ), vraiment vous m'avier convaincu, le Congo a besoin des Elites courageux comme vous, la peur est l'arme que les pilleurs de notre pays ont exploité pour nous mettre le fil dans le cou. mais, mentez mentez il n'en restera rien. Je vous félicite monsieur et mes respects.je profite à lancer un appel aux congolais de soutenir ceux qui sont prèt à donner leur vie pour la cause nationale.Que le seigneur vous comble de sa grâce pour votre lutte.
Répondre
UDPS LIEGE
Publicité
Publicité